Cette maison était habitée par une personne âgée. Elle était dépourvue du tout à l’égout, les toilettes consistaient en une chaise percée. La cuisine était inexistante. L’électricité dangereuse. Seul le chauffage fonctionnait correctement. Malheureusement l’isolation n’était pas aux normes actuelles.

Une maison sombre, humide et mal isolée

Une phase toujours impressionnante : démolir pour mieux reconstruire ! L’ancienne pièce en marteau sera transformée en extension lumineuse avec vue directe sur le jardin.

1er étape de la reconstruction : être à nouveau clos et couvert. Un chantier hors des intempéries est un chantier qui peut avancer sans contraintes météo.

Le gros oeuvre touche à sa fin. On profite du coulage de la dalle pour encastrer les réseau de chauffage et d’évacuation

Le gros oeuvre terminé, on peut attaquer la phase isolation et plâtrerie

Une bonne isolation passe aussi par de nouvelles fenêtres. Une déclaration préalable de travaux doit être faite pour changer les menuiseries côté rue.
Les menuiseries intérieures ont également été réparées ou crées.

Le tout à l’égout étant inexistant, il a fallu monter un dossier avec la communauté urbaine et créer les réseaux.

L’ancien jardin composé de briques dépareillées sera uniformisé par un produit hydrofuge mais néanmoins respirant (plusieurs teintes possibles).
Les bas de murs seront cimentés pour mieux gérer les éclaboussures dues à la pluie. On intégré une jardinière (à droite) pour renforcer le mur bombé par les poussées le terrain plus haut de la propriété voisine.

Le choix du carrelage en 60 x 60 a été fait. Pour cette dimension, un ragréage s’impose. Plus tard, le carrelage de la terrasse sera aligné sur celui du séjour.

Dernière phase du chantier : l’une des plus cruciale car la plus visible, mais dont la réussite dépend de chaque étape précédente.

Pièce centrale de la maison et située, pour des contraintes techniques en second jour, elle a été choisie en blanc pour capter le maximum de lumière.